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Les histoires que l’on se racontent




Je vais être honnête : je me suis prise en flagrant délit de me raconter encore et encore des histoires dans ma tête. C’est une réalité, je nourris sans cesse mes pensées par des milliers de scénarios :

  • Je ré-écris mon passé de plein de façon en me disant « si j’avais fait ci et ça … »

  • Je m’invente des excuses au présent comme « je n’y arrive pas, j’ai peur de … »

  • J’imagine plein de possibilités pour le futur en me disant « quand je serais en fin d’année, je ferais ci et ça … »

Ces histoires impactent aussi mon corps. Car elles font remonter des émotions, des sensations, des souvenirs. Ce qui continuent de nourrir tout ce que je me raconte. C’est donc le serpent qui se mange la queue, un jeu infini où je tourne en rond.


Ce matin j’ai dit STOP puis je me suis bottée les fesses en AGISSANT. Parce que oui, à force de me raconter tout plein d’histoire, je me suis vue procrastinée en repoussant encore et encore des tâches à faire. Que ça soit pour ma vie professionnelle ou personnelle.


Or, pour aller là où j’ai profondément envie d’aller, il est nécessaire d’AGIR CONCRÈTEMENT. De revenir à ce principe de réalité très simple qui est de revenir dans la matière physique du quotidien et du faire.

Je me suis alors mise à prendre des feuilles blanches, y écrire tous les domaines de ma vie sur chacune d’elle puis de lister les tâches à faire. C’est le début d’une mise à plat de ce qu’il y a dans ma tête. Cette mise en action concrète et réelle m’aide à y voir plus claire sur ce qui est important, urgent et nécessaire. J’accepte que ça ne soit pas très confortable pour moi à entreprendre car c’est la première fois que je fais cet exercice. Pourtant je maintiens le cap car je sais que cette action m’est essentielle, qu’elle répond à mon besoin de structurer ma vie professionnelle et personnelle pour ne plus être dans cette agitation mentale de me raconter des histoires.


Mais alors, qu’en est-il justement de ces histoires que je me raconte ? Je les observe avec plus de recul, j’écris les sujets qui reviennent sans cesse pour comprendre s’il s’agit de peur, de croyance, d’excuse ou simplement d’histoire sans fondement. A partir de là j’ai deux solutions :

  • Je chemine seule avec les outils que je connais

  • Je me fais aider d’une coach

J’aime utiliser les deux car je vois bien qu'être seule ne me permet d'aller autant en profondeur que lorsque je suis aidée. Les questions et exercices proposés me permettent de regarder les histoires que je me raconte, les peurs, croyances ou excuses sous un angle auquel je n'avais pas pensé avec mon propre filtre. Delà j’arrive plus facilement à laisser circuler mes émotions, à ressentir ce qu'il se passe dans mon corps et à trouver les ressources pour faire évoluer la situation.


C’est exactement pour cela que je suis devenue coach : aider à sortir d’une situation, parfois enfermante, en offrant un espace pour se déposer, regarder autrement ce qui est vécu et trouver les ressources pour la faire évoluer concrètement.

Quand on décide de se reconvertir et d’évoluer professionnellement, il est possible de se raconter beaucoup d’histoire. C’est normal et légitime car :

  • Ça remet en question les choix du passé

  • Ça met en lumière ce qui est ressenti au présent

  • Ça questionne là où aller dans le futur

Jusqu’au moment où ces histoires bloquent et ne permettent plus d’avancer. C’est là où en tant que coach je peux aider en offrant un espace pour se déposer et faire avancer avec un jeu de questions et d’exercices.


Si tu souhaites me raconter les histoires que tu te racontes sur ta reconversion professionnelle, tu peux prendre rendez-vous gratuitement ici pour une séance de coaching. Et si tu as envie d’aller découvrir ce que je propose comme accompagnement c’est sur ma page « coaching individuel ».



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